« Pour le passant impromptu, de Maupassant était une longue rue, d’une fraîcheur exquise, quelque peu sombre, il est vrai, qui protégeait contre les rayons ardents du soleil.

Au rendez-vous à cette quatrième édition allant du 9 au 11 décembre: Gary Victor en invité d’honneur et les éditions Philippe Rey en invitée spéciale.

Le Vendredi littéraire de ce 15 juillet au Centre culturel Anne-Marie Morisset est dédié à la mémoire de Willems Edouard.

À peine arrivée que déjà 2016 file toutes voiles déployées.

Le 7e Forum transculturel d’Art contemporain, initié par la fondation AfricAmerica, se déroule toute cette semaine jusqu’au 11 avril. Plusieurs conférences et ateliers, côtoyant des expositions, sont prévus. Notamment une activité qui a déjà suscité de l’intérêt, Atis nan kay la, programmé pour les 10 et 11 avril.

« C’est une chose que j’avais toujours souhaitée.

Elle a 75 ans aujourd’hui et ne compte pas une seule ride. Trop heureuse d’avoir résisté aux vents et marées,la Bibliothèque nationale d'Haïti est fière de porter aussi bien son grand âge et s'est mise sur son trente et un pour marquer l'évènement. Sa directrice, Emmelie Prophète-Milcé, n’a pas lésiné sur les moyens.

Dans un communiqué sorti le 3 mars en cours, le Bureau haïtien du droit d’auteur ( BHDA) a de nouveau lancé des avertissements avant de passer aux moyens forts.

En ce début d’année, les auteurs ne chôment pas. Ils font la part belle aux lettres haïtiennes. Après Emmelie Prophète avec « Le bout du monde est une fenêtre » (Mémoire d’encrier), Natacha Daciné avec « 52 pensées positives pour 52 semaines réussies » (à compte d’auteur), c’est au tour de Makenzy Orcel de livrer La nuit des terrasses, récemment paru aux éditions La Contre Allée.

La maison d’édition Mémoire d’encrier vient de publier Le bout du monde est une fenêtre.